Avez-vous déjà entendu parler de la Parabole de la maison bâtie sur le Roc ?

Construire sa maison sur le roc

C’est une histoire citée dans la Bible et plus précisément dans les évangiles de Matthieu et Luc.  Jésus se sert de cette parabole pour donner des leçons de foi à son auditoire. Il explique qu’il ne faut pas bâtir une maison sur le sable mais sur le roc, pour éviter les mauvaises surprises. Car « La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison : elle n’est point tombée, parce qu’elle était fondée sur le roc ».

On a tous intérêt à bâtir sur du solide !

Le roc dans la bouche de Jésus, représente bien sûr l’engagement chrétien et la foi qui seront plus fort que les tempêtes, les intempéries et les épreuves que la vie met sur notre chemin. Mais à vous, particuliers qui réalisaient des travaux de construction, cette parabole pourraient bien vous éviter des soucis. Elle vous rappelle en effet que l’assurance dommages-ouvrage obligatoire depuis 1978 sera comme un roc qui vous mettra à l’abri de bien des déconvenues en cas de dommages.

L’assurance dommages-ouvrage : une garantie solide comme du roc

Indissociable de l’assurance décennale du constructeur, la DO (assurance dommage ouvrage) permet d’indemniser les propriétaires lorsque surviennent des dommages pendant les 10 ans de garantie décennale sans qu’ils aient besoin d’engager des démarches judiciaires contre le constructeur. Pour aller plus loin.

Quelles constructions assurer ?

L’assurance dommage ouvrage concerne de nombreux types de constructions :

  • Maisons individuelles
  • Immeubles
  • Entrepôts
  • Locaux professionnels
  • Piscines
  • Garages
  • etc…

Quels types de dommages sont-ils couverts ?

Pour faire simple, sont couverts par le contrat d’assurance dommage ouvrage, tous ceux qui le sont par la garantie décennale. Plus précisément, il s’agit de tous les dommages qui viennent contrarier la solidité de la construction ou ceux qui empêche qu’on l’utilise comme il était prévu.

Comme dirait Jésus, « que celui qui a des oreilles entendent » ! Ou, à bon entendeur, salut !